Photos par Alix, the Cherry Blossom Girl
mercredi 26 novembre 2008
Les Nymphes
vendredi 21 novembre 2008
Louise par Margaux Motin

Louise a 20 ans.
vendredi 7 novembre 2008
Mode féminine : Le Consulat et l'Empire.
Slowly, there developed a contrast between the lavish costumes of the court and the more practical and plain-looking dresses worn by the common people. As a nod to neo-classical style, the fabrics were thinner, more translucent and gave room for movement. Fashion was led by the elegant women of the court like Joséphine de Beauharnais or Madame Récamier, who launched a style that corresponded to the ornamental arts of that period and was a combination of frivolity as well as a desire for greatness.
La mode des débuts de l'Empire (1805-1819), est marquée par une ligne plus nette et resserrée. Ainsi, le corsage est plus moulant, tandis que la longue tunique perd sa traîne. Les robes se font plus ornées, ainsi rubans et volants réapparaissent sur le bas des robes, les manches sont ballonnées et plus amples. Le châle de cachemire garde son immense succès, mais d'autres accessoires en vogue apparaissent, comme les pèlerines, les fichus, ou encore les collerettes, qui réchauffent les sorties en ville. La légèreté des robes favorise l'apparition de douillettes, manteaux plus sombres et ouatinés qui suivent la ligne de la robe.
Les modes de l'Orient et de l'antique se feront progressivement plus discrètes, pour laisser place a un intérêt grandissant pour la Renaissance et la littérature historique, qui inspirera le costume Romantique, dès la fin de l'Empire.
Fashion during the early onset of the Empire Period (1805-1819) is marked by narrow and clean lines with form-fitting tops and long, drapey tunics minus their trains. The dresses were more ornate with ribbons and had flounce on the bottom part of the dresses and had fuller and puffed-up sleeves. The cashmere shawls remained hugely popular yet other accessories also came in vogue, like the capes, kerchiefs or ruffles and frills that provide warmth when going about town.
The lightness of the dresses favored the introduction of snug and dark and quilted coats that follow the lines of the dresses.
Oriental and classically inspired touches gradually became less visible and gave way to a growing interest in the Renaissance and historic literature which would the inspire the Romantic style at the end of the Empire regime.
vendredi 31 octobre 2008
lundi 27 octobre 2008
Le Musée de la Vie Romantique

Le Musée de la Vie Romantique est un de mes lieux parisiens de prédilection. Situé rue Chaptal, il se trouve dans l'ancien quartier de la "Nouvelle-Athènes", quartier témoin d'effusions artistiques au début du 19ème siècle, qui donnèrent naissance au courant romantique.
Ce musée se trouve installé dans l'ancien atelier du peintre Ary Scheffer, figure de proue de l'école romantique, qui fut professeur de dessin des enfants du Duc d'Orléans ( dont Marie d'Orléans).
Le peintre y avait installé deux ateliers, le premier pour à ses peintures, tandis que le deuxième etait destiné aux réceptions. En effet, l'atelier de la rue Chaptal était au 19ème siècle le théâtre de nombreuses et importantes rencontres artistiques. On pouvait y croiser Delacroix, Chopin, ou encore George Sand, pour laquelle est dédié le premier étage du musée, avec une sélection émouvante d'effets personnels et d'oeuvres d'arts.J'affectionne particulièrement ce lieu, pour ses charmantes pièces a l'atmosphère feutrée, son jardin romantique dévoré par la glycine, et surtout pour les oeuvres mélancoliques d'Ary Scheffer, dont je reparlerais prochainement. C'est un lieu paisible et sans prétention, qui me donne l'impression de remonter le temps.
De plus l'un des pavillons acceuille régulièrement des expositions temporaires, l'année dernière une très belle retrospective de Jean-Jacques Henner y était presentée.
The Museum of Romantic Life (Le Musée de la Vie Romantique) is one of my favorite spots in Paris. It is located at 16 rue Chantal in the ancient quarter of New Athens, the seat of artistic expression at the turn of the 19th century which gave rise to the Romantic movement. This museum was once the house and studio of Ary Scheffer, a prominent figure of the Romantic period who taught art to the Duke of Orléans' children, including Marie of Orléans.There, the painter installed two studios. The first one became a gallery of his paintings. The second one became the centerstage of many important and artistic receptions where artists such as Delacroix, Chopin as well as the novelist George Sand gathered. Nowadays, the ground floor of the museum is dedicated to Sand and showcases a poignant selection of her personal belongings and artworks. I'm especially fond of this place for its charming rooms with a gauzy atmosphere, its romantic garden covered in wisteria and above all, the melancholic works of Ary Scheffer whom I will write about next time. It's a very peaceful and unpretentious place which gives me the impression of going back in time. What's more, one of its pavillions regularly holds temporary exhibits like last year's very beautiful art retrospective displaying the work of Jean-Jacques Henner.
Ary Scheffer Marguerite au rouet
jeudi 23 octobre 2008
samedi 18 octobre 2008
L'accordéoniste
Au coin de la rue là-bas
Les filles qui font la gueule
Les hommes n'en veulent pas
